Donald Trump veut gracier Mohamed Ali
(Bbc.com/Afrique)-Donal Trump veut accorder à l’ancien champion de boxe Mohamed Ali une grâce à titre posthume.
Interrogé sur d’éventuelles grâces qu’il pourrait annoncer, le président américain Donald Trump a indiqué qu’il envisage d’accorder une grâce à titre posthume à Mohamed Ali.
« Je pense à Mohamed Ali », a dit M. Trump, sur la pelouse de la Maison Blanche, juste avant de s’envoler pour le sommet du G7 au Canada.
Le boxeur avait refusé d’être enrôlé dans l’armée en 1967, en pleine guerre du Vietnam, en avançant des raisons religieuses et sa réticence à aller affronter des populations lointaines qui ne lui avaient personnellement rien fait.
Condamné pour insoumission, il s’était en conséquence vu retirer son titre de champion du monde.
En 1971, la Cour suprême des Etats-Unis avait toutefois annulé cette condamnation.
L’ex-président démocrate Jimmy Carter avait par la suite amnistié les objecteurs de conscience ayant refusé de s’engager pour le Vietnam.
Le geste de clémence de Donald Trump pourrait donc n’être que symbolique mais avec une certaine portée.
Le président a fait cette annonce pratiquement deux ans, jour pour jour, après les obsèques de la vedette du noble art dans sa ville natale de Louisville dans le Kentucky.
S’il venait à être gracié, Mohamed Ali ne sera pas le seul sportif à bénéficier de cette mesure.
En mai, le locataire de la Maison blanche avait réhabilité à titre posthume un autre boxeur, Jack Johnson.
Il s’agit du premier Noir sacré champion du monde de boxe poids lourd en 1908, qui avait été condamné à la prison sur des motifs racistes.
La grâce est un droit régalien que la Constitution des Etats-Unis confère à son président.
Cette disposition a déjà permis à M. Trump de faire libérer, mercredi, Alice Johnson, une femme de 63 ans qui avait été condamnée à la perpétuité pour un délit de trafic de drogue.
Une décision qui fait suite à une demande de la vedette de télé-réalité Kim Kardashian.
« Je pense à Mohamed Ali », a dit M. Trump, sur la pelouse de la Maison Blanche, juste avant de s’envoler pour le sommet du G7 au Canada.
Le boxeur avait refusé d’être enrôlé dans l’armée en 1967, en pleine guerre du Vietnam, en avançant des raisons religieuses et sa réticence à aller affronter des populations lointaines qui ne lui avaient personnellement rien fait.
Condamné pour insoumission, il s’était en conséquence vu retirer son titre de champion du monde.
En 1971, la Cour suprême des Etats-Unis avait toutefois annulé cette condamnation.
L’ex-président démocrate Jimmy Carter avait par la suite amnistié les objecteurs de conscience ayant refusé de s’engager pour le Vietnam.
Le geste de clémence de Donald Trump pourrait donc n’être que symbolique mais avec une certaine portée.
Le président a fait cette annonce pratiquement deux ans, jour pour jour, après les obsèques de la vedette du noble art dans sa ville natale de Louisville dans le Kentucky.
S’il venait à être gracié, Mohamed Ali ne sera pas le seul sportif à bénéficier de cette mesure.
En mai, le locataire de la Maison blanche avait réhabilité à titre posthume un autre boxeur, Jack Johnson.
Il s’agit du premier Noir sacré champion du monde de boxe poids lourd en 1908, qui avait été condamné à la prison sur des motifs racistes.
La grâce est un droit régalien que la Constitution des Etats-Unis confère à son président.
Cette disposition a déjà permis à M. Trump de faire libérer, mercredi, Alice Johnson, une femme de 63 ans qui avait été condamnée à la perpétuité pour un délit de trafic de drogue.
Une décision qui fait suite à une demande de la vedette de télé-réalité Kim Kardashian.